Muscle Building Peptides GDF-8 for Bodybuilding
Détail rapide :
Nom du produit: GDF-8 (Facteur de différenciation de la croissance 8 Myostatine)
Pureté: 85%
spécification: 1mg
Espace de rangement:2-8 degree centigrade refrigerator
Forfait: 10 Vials/Kit
Deliver:1 journée de travail pour les marchandises prêtes,7 jours jusqu'à votre destination.
Pacakge:1kit=10vials Alumnium foil+bubble+carton
Personnalisé:accepté.
Pays d'origine: Chine
La description
Growth and differentiation factor 8 (GDF-8) (also known as muscle growth inhibin) is a muscle cell that produces and releases proteins from muscle cells that act on the autocrine function of muscle cells to inhibit myocyte production: muscle cell growth And differentiation. Chez les humains, it is encoded by the MSTN gene. Myosin is a secreted growth factor that is a member of the TGF beta family of proteins.
Animals lacking myostatin or substances treated with substances that block myostatin activity have significantly more muscle mass. en outre, individuals with mutations in the two copies of the myostatin gene have significantly more muscle mass and are stronger than normal. Blocking the activity of myostatin may have a therapeutic effect in the treatment of muscle wasting diseases such as muscular dystrophy.
Application
1) Le gène codant pour la myostatine a été découvert en 1997 par les généticiens Se-Jin Lee et Alexandra McPherron qui ont produit une souche de souris mutantes dépourvues du gène. Ces myostatines “Assommer” les souris ont environ deux fois plus de muscle que les souris normales. Ces souris ont ensuite été nommées “puissantes souris”.
2) Des carences naturelles en myostatine ont été identifiées chez les bovins par Ravi Kambadur, whippets, et les humains; dans chaque cas, le résultat est une augmentation spectaculaire de la masse musculaire. Une mutation dans le 3′ L'UTR du gène de la myostatine chez le mouton Texel crée des sites cibles pour les microARN miR-1 et miR-206. Ceci est susceptible de provoquer le phénotype musculaire de cette race de mouton.
3) La myostatine humaine est constituée de deux sous-unités identiques, chacun composé de 109 (La base de données NCBI affirme que la myostatine humaine est 375 résidus longs) résidus d'acides aminés. Son poids moléculaire total est 25.0 kDa. La protéine est inactive jusqu'à ce qu'une protéase clive l'extrémité NH2, ou “pro-domaine” partie de la molécule, résultant en le dimère COOH-terminal actif. La myostatine se lie au récepteur de l'activine de type II, résultant en un recrutement du corécepteur Alk-3 ou Alk-4. Ce corécepteur initie alors une cascade de signalisation cellulaire dans le muscle, qui comprend l'activation des facteurs de transcription de la famille SMAD – SMAD2 et SMAD3. Ces facteurs induisent alors une régulation génique spécifique de la myostatine. Lorsqu'il est appliqué aux myoblastes, la myostatine inhibe leur différenciation en fibres musculaires matures.
La myostatine inhibe également Akt, une kinase suffisante pour provoquer une hypertrophie musculaire, en partie par l'activation de la synthèse des protéines. Cependant, Akt n'est pas responsable de tous les effets hypertrophiques musculaires observés qui sont médiés par l'inhibition de la myostatine[8] Ainsi la myostatine agit de deux manières: en inhibant la différenciation musculaire, et en inhibant la synthèse protéique induite par Akt.